Cette page donne des réponses à diverses questions informatique (Etienne Pallier)
Voir aussi ComputerScience (informations sur générales sur des notions informatique)
Voir aussi InformationAboutThisTwiki (informations sur ce wiki)
MaNouvellePage
Ce chapitre n'est qu'un résumé de ce qui est vraiment important. Il est encore incomplet et sera enrichi progressivement.
Pour tout ce qui n'est pas (encore) dit, respecter les conventions de la PEP08 : https://www.python.org/dev/peps/pep-0008/
Principe global : KISS (https://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_KISS)
(Vous-mêmes ou à plus forte raison quelqu'un d'autre, doit pouvoir relire votre code plusieurs années après et le comprendre rapidement)
GENERAL RULES
Ces règles générales sont valables quelque soit le langage utilisé (Python, Php, Java, ...)
Utiliser le tag "TODO:" en début de ligne pour marquer une action à faire (Attention: bien mettre les 2 points à la fin)
Chaines de caractères (Strings)
Simple caractère => simple quote (apostrophe) :
c = 'c'
Chaine de caractères => double quote (guillemets) :
s = "ma jolie chaine"
Constantes
LIMIT_MAX
LIMIT_MIN
Longueur de ligne
Dans la mesure du possible, ne pas dépasser les 80 caractères
Nombre de lignes d'une méthode ou fonction
Une méthode ou fonction doit être la plus concise possible, et en tous cas elle doit tenir en entier sur l'écran pour qu'on comprenne rapidement ce qu'elle fait.
De manière générale, rester en dessous des 30 lignes.
Commentaires
Pour chaque méthode ou fonction, mettre un commentaire AVANT (triple quote) :
''' Commentaire sur une seule ligne '''
ou bien
'''
\t Commentaire sur plusieurs lignes
\t Deuxième ligne
\t Troisième ligne
'''
def myMethod():
...
Commentaire TODO ou bien "mise en commentaire" d'une ligne de code => #
# TODO: bla bla bla
#s = readline()
Méthodes booléennes (true/false)
S'assurer de la bonne lisibilité du code en employant des noms de méthodes en "anglais courant".
Exemples:
isWriteable()
isReadable()
hasComponents()
makesNoise() # => ne pas confondre avec "makeNoise()" qui sera plutôt une méthode fabriquant du bruit (et non pas retournant un booléen)
doesNoise() # => idem, ne pas confondre avec "doNoise()"
Attributs et Méthodes : privés par défaut
Attributs : "Privatiser" quasiment TOUS les attributs, et les encapsuler en les rendant accessibles et modifiables uniquement par des accesseurs (getters et setters)
Dans la mesure du possible, 1 classe = 1 fichier du même nom
Ex: vehicule.py ne devrait contenir QUE la classe Vehicule
Style
Utiliser du Camel Case pour les Classes (majuscule au début) et et les méthodes et instances de classes (minuscule au début) : MyClass, myClassInstance, myMethod()
Utiliser du Snake Case pour les attributs : my_own_attribute
Tests
Tests unitaires (test des méthodes d'une classe) : test_<nom-du-test>_<nom-de-la-methode-testée>()
ex: 3 tests unitaires de la méthode "addItem()" d'une classe:
* test_firstCase_addItem()
* test_secondCase_addItem()
* test_thirdCase_addItem()
Tests fonctionnels (et d'intégration) (test des fonctionnalités du logiciel, surtout celles demandées dans les specs ; font intervenir plusieurs classes d'un même module, voire même plusieurs modules) : test_func_<nom-de-la-fonctionnalité>()
ex:
* test_func_alertCompleteProcessing()
Tests de performance : test_perf_<nom-du-composant>()
ex:
* test_perf_scheduler()
Tests de robustesse (stress test) : test_stress_<nom-du-composant>()
ex:
* test_stress_scheduler()
Imprimantes
1) Imprimer sur Sprinter (bureau Chemcam 58) :http://planetowiki.irap.omp.eu/do/view/Computers/SprinterPrinter2) Imprimer sur les imprimantes générales du labo :
Article général sur l'intranet : https://intranet.irap.omp.eu/spip.php?article205
Je donne ici quelques raccourcis et petites mises à jour par rapport à cette doc, pour installer notamment l'imprimante improche3 :
a) Installation sur Mac OS
Mon expérience sur OS 10.10 (Yosemite) :
Préférences Système / Imprimantes
Cliquer sur bouton "+"
Adresse : impression.irap.omp.eu
Protocole : IPP
File d'attente : /printers/improche3
Cliquer sur "Ajouter"
Cocher "unité d'impression duplex" pour le recto-verso
b) Installation sur Linux
Mon expérience sur Fedora 20 :
Par défaut, ça ne marche pas car le protocole IPP n'est pas autorisé par le firewall.
Donc, à moins de l'autoriser dans la config du firewall, ne pas passer par Preferences / Imprimantes, mais plutôt par le script d'installation :
sudo system-config-printer
Ajouter une imprimante
Cliquer sur "Imprimante Réseau", puis "IPP"
Là, on nous propose d'activer IPP qui n'est pas forcément activé par défaut
OK
Entrer directement l'URI complète de l'imprimante : ipp://impression.irap.omp.eu/printers/improche3
Le bon pilote devrait être automatiquement sélectionné
Activer le recto-verso dans les options
Accès à l'Intranet depuis l'extérieur du labo (avec tunnel)
Comment accéder à l'intranet depuis l'extérieur ?
1) Créer un tunnel (entre le port local 9443 et le port distant 443 du serveur web du labo, via la passerelle)
ssh -L 9443:SERVEURINTRANET.LAB_DOMAIN:443 MON_LOGIN_DU_LABO@SERVEURGATEWAY.LAB_DOMAIN
(Pour les personnes qui utilisent Windows, vous pouvez faire la même chose avec le logiciel Putty, en vous inspirant de ce qui est décrit sur cette même page au point 4) a) de l'article http://planetoweb.cesr.fr/twiki/bin/view/Main/HowtoInformatique#Se_connecter_un_serveur_linux_en)
2) Pointer son navigateur sur https://localhost:9443
Accepter le certificat, et le tour est joué, vous êtes sur l'intranet !
Redmine depuis l'extérieur du labo (avec tunnel)
Comment accéder au site redmine depuis l'extérieur ?
C'est la même chose qu'au point précédent, mais en remplaçant SERVEURINTRANET par SERVEURREDMINE
Réservation des ressources depuis l'extérieur du labo (avec tunnel)
Pour accéder au site de réservation des ressources, il suffit de faire comme au premier point ci-dessus (intranet), et de renseigner l’adresse du site : https://localhost:9443/grr
Accès à TEAM_SERVER avec Putty
Comment accéder à un serveur interne au labo depuis l'extérieur, avec le logiciel Putty (souvent utilisé sur Windows)
(NB : si vous voulez vraiment utiliser ce logiciel sur Mac OS, il faut le faire via macport ; voici un lien utile : http://korben.info/installer-putty-mac.html)
A. Solution simple, sans tunnel
1) Démarrer Putty
2) Remplir les champs suivants :
Host Name = GATEWAY (nom à remplacer par le VRAI que je tairai sur cette page publique)
port = 22
connection type = ssh
3) Cliquer sur la catégorie "SSH" (à gauche), et sélectionner X11
4) Cocher "Enable X11 forwarding"
5) Cliquer sur la catégorie "Session" (à gauche, tout en haut)
6) Donner un nom à cette session dans le champ "Saved Sessions", par exemple "passerelle_labo"
7) Cliquer sur le bouton "Save"
From here, si on veut pouvoir visualiser des plots idl, il faut aussi démarrer le logiciel Xming (qu'on peut trouver ici : http://www.clubic.com/lancer-le-telechargement-202646-0-xming.html)
8) Exécuter cette session en cliquant sur le bouton "Open"
9) Saisir votre login puis votre mot de pass (ceux du webmail)
==> c'est bon, on est sur la passerelle
10) pour se loguer sur TEAM_SERVER, taper ceci :
ssh -X monlogin@TEAM_SERVER.LAB_DOMAIN
(le "-X" pas nécessaire si on ne veut pas d'affichage graphique)
(attention, ici utiliser le login TEAM_SERVER, pas celui du webmail)
puis entrer votre mot de passe de TEAM_SERVER (pas celui du webmail)
==> c'est bon, on est sur TEAM_SERVER
11) Tester si on a bien une connexion graphique
xterm
ou bien démarrer idl et faire un plot
Si ça ne marche pas c'est qu'il faut donner le nom exact du DISPLAY dans la session putty.
Depuis TEAM_SERVER, pour voir le numero exact du display (normalement quelque chose comme localhost:11.0 ou 11.1...), taper :
echo $DISPLAY
et mettre ce nom dans putty, dans SSH/X11/"X display location" (avec "Enable X11 forwarding" coché)
A. Solution avec tunnel
Si on a besoin de faire ça souvent, il vaut mieux "creuser" un tunnel d'accès direct au serveur TEAM_SERVER (ou autre),
afin de pouvoir s'y connecter directement (sans l'étape passerelle, qui devient un intermédiaire transparent).
//TODO
MAC OS X
locate
Il faut créer la bd une première fois :
sudo launchctl load -w /System/Library/LaunchDaemons/com.apple.locate.plist
VIM
http://macvim.org/OSX/index.php
By default, Vim runs in "compatible" mode. That is, it acts a lot like traditional vi, without the improvements. Unless you want a maximally vi-compatible version of vim, I recommend that you copy the standard startup files to your home directory, and name them .vimrc and .gvimrc.
Ce que j'ai fait simplement :
1) recherche de vimrc_example :
locate vimrc
2) Copie locale :
cp /usr/share/vim/vim73/vimrc_example.vim .vimrc
Installation AMP avec XAMPP (solution la plus simple, bien pour le développement, mais pas très blindée pour un serveur de production)
Version 1.7.3
http://www.apachefriends.org/en/xampp-macosx.html
(ou aussi en french, mais moins à jour, http://www.apachefriends.org/fr/xampp-macosx.html)
1) Download
2) Install (environ 300Mo)
XAMPP est installé dans le répertoire/Applications/XAMPP
3) Démarrer
sudo /Applications/XAMPP/xamppfiles/xampp start
Sur l'écran devrait apparaitre les instructions suivantes:
Démarre XAMPP pour MacOS X 1.7.3...
XAMPP: Démarre Apache avec SSL...
XAMPP: Démarre MySQL...
XAMPP: Démarre ProFTPD...
XAMPP démarré.
Moi j'ai plutôt un pb avec proftpd, sans doute incompatible avec mac :
File permissions are being checked...ok.
Starting XAMPP for Mac OS X 1.7.3...
XAMPP: Starting Apache...ok.
XAMPP: Starting MySQL...ok.
XAMPP: Starting ProFTPD...XAMPP/XAMPP/xamppfiles/xampp: line 184: /Applications/XAMPP/xamppfiles//var/proftpd/start.err: No such file or directory
fail.
Contents of "/Applications/XAMPP/xamppfiles//var/proftpd/start.err":
cat: /Applications/XAMPP/xamppfiles//var/proftpd/start.err: No such file or directory
4) Tester
http://localhost/ pointe automatiquement sur :
http://localhost/xampp/splash.php
et ça marche !
Si plus tard on remplace la page d'accueil de XAMPP par la sienne, on peut toujours joindre la page d'accueil de XAMPP avec http://localhost/xampp/
5) Aspects sécurité
Comme cela a déjà été expliqué antérieurement XAMPP n'est pas fait pour l'emploi de production, mais seulement pour développeur et l'environnement du développement. Cela a pour suite que XAMPP est volontairement préconfiguré pour ne pas être restrictif et être au contraire trés ouvert. Pour un développeur cela est idéal qu'il ne soit pas limité par les limites du systéme. Par contre pour un emploi en production cela est absolument pas recommendable.
Ici, une liste de choses donc XAMPP est volontairement(!) insécurisé:
1. L'administrateur (root)MySQL n'a pas de mot de passe.
2. Le démon MySQL est joignable par le réseau.
3. Le démon ProFTPD utilise le mot de passe "xampp".
4. PhpMyAdmin est joignable par le réseau.
5. MySQL et Apache fonctionne sous le même utilisateur (nobody)
Dans la page XAMPP-Demo (que l'on trouve sous http://localhost) il y a le point "Security check". À cet endroit on peut faire apparaître le niveau de sécurité actuel de XAMPP.
Si on veut utiliser XAMPP en réseau , pour que le serveur XAMPP soit accessible par d'autres utilisateurs, alors il faut impérativement exécuter les commandes suivantes avec lesquelles ont pourra alors limiter les failles de sécurité:
/Applications/XAMPP/xamppfiles/xampp security
6) START et STOP
To start XAMPP simply open XAMPP Control and start Apache, MySQL and ProFTPD.
Mais, on peut aussi utiliser la commande /Applications/XAMPP/xamppfiles/xampp :
on peut non seulement démarrer Xampp mais aussi exécuter d'autres commandes :
Pour arrêter XAMPP simplement entrer cette commande:
/Applications/XAMPP/xamppfiles/xampp stop
Pour démarrer Apache avec support SSL suivre les commandes suivantes:
/Applications/XAMPP/xamppfiles/xampp startssl
Et Apache avec support SSL fonctionne déjà. Joignable sous https://localhost.
Liste des autres commandes : http://www.apachefriends.org/fr/xampp-macosx.html#3413
7) FICHIERS ET RÉPERTOIRES IMPORTANTS
/Applications/XAMPP/xamppfiles/bin
Ici les commandes pour XAMPP.
(il suffit de placer /Applications/XAMPP/xamppfiles/bin dans mon $PATH pour que j'ai accès à toutes les commandes de xampp directement, telles que "mysql")
/Applications/XAMPP/xamppfiles/bin/mysql appelle par ex .MySQL.
/Applications/XAMPP/htdocs/
Le répertoire Root du serveur web Apache. Ici sont les pages web d'Apache.
/Applications/XAMPP/etc/httpd.conf
Le fichier central de configuration du serveur web Apache.
/Applications/XAMPP/etc/my.cnf
Le fichier de configuration pour le serveur MySQL -Base de données.
/Applications/XAMPP/etc/php.ini
Le fichier de configuration de PHP.
/Applications/XAMPP/etc/proftpd.conf
le fichier de configuration de ProFTPd.
8) Mes Sites Webs
You can put your Websites in /Applications/XAMPP/htdocs/ and access them via http://localhost/
Or you put your Websites in the Sites-Folder in your Home and access them via http://localhost/~pallier/.
Whats the username and the password for MySQL?
Username: root
Password: No password
9) Désinstallation
To uninstall XAMPP just stop it and move it to the Trash.
Ou bien
sudo rm -rf /Applications/XAMPP
Installation AMP (Apache Mysql Php) en utilisant MacPort
Téléchargez et installez Apache2 et ses dépendances :
sudo port install apache2
Une fois l’installation terminée, vous pouvez activer lancement automatique de Apache au démarrage de l’ordinateur :
sudo port load apache2
fichiers sont dans /Library/LaunchDaemons/org.macports.apache2.plist
Téléchargez et installez MySQL 5 et ses dépendances :
sudo port install mysql5
Installez/Activez le serveur MySQL 5 :
sudo port install mysql5-server
Une fois l’installation terminée, vous pouvez activer le lancement automatique de MySQL au démarrage de l’ordinateur :
sudo port load mysql5-server
Terminez l’installation de MySQL :
sudo -u _mysql mysql_install_db5
Une fois l’installation terminée, vous pouvez lancer MySQL au démarrage de l’ordinateur :
sudo port load mysql5
Installation PHP 5.3
Téléchargez et installez PHP 5.3 et ces dépendances. A noter ici que je choisi également d’activer le PEAR, d’où le +pear.
sudo port install php5 +pear
Ajoutez le module PHP pour Apache 2 :
sudo /opt/local/apache2/bin/apxs -a -e -n "php5" /opt/local/apache2/modules/libphp5.so
Créez le fichier de configuration php.inide PHP :
sudo cp /opt/local/etc/php5/php.ini-development /opt/local/etc/php5/php.ini
Installez et activez MySQL pour PHP :
sudo port install php5-mysql
Étape optionnelle : Installez quelques extensions utiles pour PHP (apc, curl, gd, iconv, mbstring, …).
sudo port install php5-apc php5-curl php5-gd php5-iconv php5-intl php5-mbstring php5-mcrypt php5-posix php5-sqlite php5-xdebug php5-zip
Configuration de votre environnement LAMP
Configuration Apache 2
Les étapes ci-dessous permettent de configurer le support de PHP dans Apache et d’activer le module UserDir (facultatif).
Activer PHP dans Apache
Éditez le fichier /opt/local/apache2/conf/httpd.conf
Ajoutez à la fin du fichier
# Include PHP configuration
Include conf/extra/mod_php.conf
Ajouter index.php dans les pages d’index reconnues par Apache
Éditez le fichier /opt/local/apache2/conf/httpd.conf
Recherchez la ligne ci-dessous :
DirectoryIndex index.html
Ajoutez sur la même ligne, à la fin :
index.php
Étape optionnelle : Activer l’extension UserDir pour Apache. Cette extension permet d’avoir des urls dédiées pour chaque utilisateur de l’ordinateur du type http://localhost/~utilisateur/
Éditez le fichier /opt/local/apache2/conf/httpd.conf
Recherchez et décommentez la ligne ci-dessous :
#Include conf/extra/httpd-userdir.conf
Étape optionnelle : Autoriser l’ajout/suppression d’options via un .htaccess (exemple Options +FollowSymLinks)
Éditez le fichier /opt/local/apache2/conf/extra/httpd-userdir.conf
Recherchez la ligne ci-dessous :
AllowOverrideFileInfoAuthConfig Limit Indexes
Ajoutez sur la même ligne, à la fin :
Options
Une fois les modifications effectuées, vous pouvez (re)démarrer Apache :
sudo /opt/local/apache2/bin/apachectl restart
Les étapes ci-dessous ont pour objectif de configurer et sécuriser votre serveur MySQL.
Démarrez le serveur MySQL
sudo /opt/local/lib/mysql5/bin/mysqld_safe &
Sécurisez votre serveur MySQL. Je vous recommande de configurer le mot de passe root et de répondre « Yes » à toutes les questions.
sudo /opt/local/lib/mysql5/bin/mysql_secure_installation
Configuration PHP 5
Configurer MySQL pour PHP
Éditez le fichier /opt/local/etc/php5/php.ini
Recherchez les paramètres pdo_mysql.default_socket, mysql.default_socket, mysqli.default_socketet mettez comme valeur ceci :
/opt/local/var/run/mysql5/mysqld.sock
Configurer le fuseau horaire par défaut
Éditez le fichier /opt/local/etc/php5/php.ini
Recherchez la ligne suivante :
;date.timezone =
Remplacez par :
date.timezone = "Europe/Paris"
Étape optionnelle : Activer les archives Phar
Éditez le fichier /opt/local/etc/php5/php.ini
Recherchez et décommentez la ligne ci-dessous
;phar.readonly = On
Une fois les modifications terminées, redémarrez votre serveur Apache 2.
Gestion
Apache :
Fichier gestion : /Library/LaunchDaemons/org.macports.apache2.plist
start : sudo port load apache2 (apachectl start/stop ne semble pas marcher)
Voir les processus apache : ps -efl|grep apac
stop : sudo port load apache2
(le Apache d'origine de Mac est démarré via les préférences systèmes, partage, web : on voit alors les processus avec "ps -efl | grep http")
Installation AMP (Apache Mysql Php) en utilisant les packages Mac OS pré-existant
apache déjà installé, mais pas activé
php déjà installé mais pas activé
mysql à installer
Apache
Pour activer le serveur, allez dans Préférences système -> Partage et cochez la case Partage Web. Si elle est déjà cochée, décochez-la pour arrêter le serveur et recochez-là pour que la modification du fichier httpd.conf soit prise en compte.
v2.2.20
/usr/sbin/
Documents : /Library/Webserver/Documents/
PHP
v5.3.6
Php : /usr/lib/
Pour activer PHP il faut décommenter la ligne #LoadModule php5_module libexec/apache2/libphp5.so du fichier httpd.conf situé dans le dossier apache2 du dossier etc.
Ensuite réactiver le serveur apache (voir ci-dessus)
Ajouter test.php dans le rep doc de apache qui contient :
http://localhost/test
ou encore http://localhost:80/test
masquer/afficher le dock (barre du bas) : cmd-alt-D
Avoir accès au labo depuis l'extérieur (via la passerelle SSH du labo) : suivre la procédure décrite sur l'intranet (https://intranet.irap.omp.eu/spip.php?article103)
Créer un mot de passe pour root
Par défaut, root n'a pas de mot de passe, il faut donc en définir un :
su passwd root
Ensuite, pour passer root, comme d'hab :
su -
ou
su - root
ou
sudo -s
changer définitivement le nom du mac (hostname) : pour moi c'était "mac-13"
pomme, préférences systèmes, partage : changer le nom, puis fermer
(sudo hostname newname ne change que temporairement)
sudo scutil --set HostName hostname[.domain]
(if the domain is not specified the hostname will be automatically configured as .local)
Créer un script de démarrage bash
vi .bash_login :
source .bash_rc
vi .bash_rc :
alias l="ls -l"
Installer sprinter
Pref Sys / Imprimantes
bouton "+"
bouton "IP"
rechercher "sprinter.cesr.fr"
elle est trouvée en tant que "hp laserjet 2300 series"
Partitionnement du disque :
http://www.osxfacile.com/partition.html
Applications / Utilitaires / Utilitaire de disque
onglet "Partition"
Diminuer la partition unique "Macintosh HD" de 500 à 100Go
Bouton "+" pour ajouter une nouvelle partition de 400Go
Visualiser un dossier ou fichier caché : http://perso.univ-lyon2.fr/~brogniar/articles/mosx-fichier-invisible.html
maj-pom-G
Pour montrer les éléments cachés il faut taper la commande "defaults write com.apple.finder AppleShowAllFiles 1".
Pour cacher à nouveau les fichiers et dossiers spéciaux il faut taper la commande "defaults write com.apple.finder AppleShowAllFiles 0".
L'utilitaire TinkerTool de Marcel Bresink permet de régler ces préférences d'une manière plus conviviale.
Déplacement clavier :
home : cmd left
end : cmd right
mot : alt left/right
Effacer le mot suivant Ctrl+Suppr
Navigation :
entre applis : Cmd Tab
entre onglets d'une mm appli : ctrl tab
entre fenêtres d'une mm appui : (alt tab ???)
cmd * (sur clavier mac, c'est cmd `, sous le £), à droite de la lettre "m"
Transition depuis le monde Linux
packages = .dmg
Gestion des Services
Pas de /etc/init.d/
A la place :
/System/Library/StartupItems et /Library/StartupItems
Apple provides a program called SystemStarter which is used to start and stop scripts in the /System -> Library -> StartupItems and /Library -> StartupItems folders. You can use it to restart services like so:
% sudo SystemStarter restart NetInfo
Or if you've just installed GimpPrint and need to restart CUPS for it to find your printer:
% sudo SystemStarter restart PrintingServices
The one caveat is that all the start, stop, and restart options do is pass this argument to the various scripts. If the script doesn't respond to that argument, nothing happens. An example is AppServices, which controls coreservicesd. Sending stop or restart to this script has no effect.
Type man SystemStarter and browse through the various scripts to learn more about the program and the scripts.
Astuces, raccourcis clavier
RACCOURCIS
caractère DIESE : maj alt * (touche à droite du "m")
Refaire (Ctrl+Maj+Z) Cmd+Maj+Z
Ouvrir un menu contextuel (Maj+F10) Ctrl+Espace
(Windows-E) Cmd-Maj-C Ouvre la fenêtre Computer sous Windows. / Va sur la vue Computer dans le Finder sous Mac OS X
(Ctrl-Maj-Echap) Cmd-Option-Esc Ouvre une fenêtre permettant de forcer l'arrêt d'une application
Quitter un programme +
Afficher les propriétés
<Command> + <I>
Forcer à quitter : Command + Option + Escape
Capture d'écran : Command + Shift + 3
Bureau : F11
Voir l'ensemble des appris en réduction : F9 et F10
Masquer finder : cmd H
Masquer les autres : cmd alt H
Créer un alias : Pom-alt + déplacer une icone sur bureau
Créer un alias/raccourci : Command + L
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JAVA
Start a Java program
http://www.vogella.de/articles/JavaIntroduction/article.html#classpath
Run your program outside Eclipse :
Open a command shell, e.g. under Microsoft Windows select Start -> Run and type in cmd. This should open a consle.
Switch to your output directory, e.g. by typing cd path, e.g. if you jar is located in "c:\temp" type "cd c:\temp".
To run this program you need to include the jar file into your classpath.
You can use the classpath to run the program from another place in your directory.
Switch to the command line, e.g. under Windows Start-> Run -> cmd. Switch to any directory you want. Type:
java HelloWorld
If you are not in the directory in which the compiled class is stored then the system should result an error message Exception in thread "main" java.lang.NoClassDefFoundError: test/TestClass
To use the class type the following command. Replace "mydirectory" with the directory which contains the test directory. You should again see the "HelloWorld" output.
java -classpath "mydirectory" HelloWorld
Create an executable JAR
A JAR file is a Java Archive based on the pkzip file format. A jar files can contain java classes and other resources (icons, property files) and can be executable.
JAR files are the deployment format for Java. You can distribute your program in a jar file or you can use exiting java code via jars by putting them into your classpath.
An executable JAR means the end-user doesn't have to pull the class files out before running the program. This is done via a manifest.txt file which tells the JVM which class has the main() method. The content of the manifest.txt file:
Manifest-Version: 1.0 Main-Class: MyApp Class-Path:
. lib/jcommon-1.0.6.jar lib/itext-1.4.6.jar "Empty Line"
An empty line is required otherwise the jar won't be executable. Space after a new line is also required
To create one executable JAR file run on the command line
jar -cvmf mainfest.txt app1.jar *.class
ECLIPSE
SVN : Supprimer une location (une adresse de dépôt)
Window -> show view -> Other... -> SVN repositories
sélectionner une location et la supprimer (touche suppr)
Install Eclipse Indigo (3.7) sur Mac OS X (10.7.2) avec Yoxos : NE MARCHE PAS
Annotate a method with @org.junit.Test
When you want to check a value, import org.junit.Assert.* statically, call assertTrue() and pass a boolean that is true if the test succeeds
(Use a method provides by JUnit to check the expected result of the code execution versus the actual result)
For example, to test that the sum of two Moneys with the same currency contains a value which is the sum of the values of the two Moneys, write:
@Test
public void simpleAdd() {
Money m12CHF= new Money(12, "CHF");
Money m14CHF= new Money(14, "CHF");
Money expected= new Money(26, "CHF");
Money result= m12CHF.add(m14CHF);
assertTrue(expected.equals(result));
}
Fixture :
What if you have two or more tests that operate on the same or similar sets of objects?
Tests need to run against the background of a known set of objects. This set of objects is called a test fixture. When you are writing tests you will often find that you spend more time writing the code to set up the fixture than you do in actually testing values.
To some extent, you can make writing the fixture code easier by paying careful attention to the constructors you write. However, a much bigger savings comes from sharing fixture code. Often, you will be able to use the same fixture for several different tests. Each case will send slightly different messages or parameters to the fixture and will check for different results.
When you have a common fixture, here is what you do:
Add a field for each part of the fixture
Annotate a method with @org.junit.Before and initialize the variables in that method
Annotate a method with @org.junit.After to release any permanent resources you allocated in setUp
For example, to write several test cases that want to work with different combinations of 12 Swiss Francs, 14 Swiss Francs, and 28 US Dollars, first create a fixture:
public class MoneyTest {
private Money f12CHF;
private Money f14CHF;
private Money f28USD;
@Before public void setUp() {
f12CHF= new Money(12, "CHF");
f14CHF= new Money(14, "CHF");
f28USD= new Money(28, "USD");
}
}
Once you have the Fixture in place, you can write as many Test Cases as you'd like. Add as many test methods (annotated with @Test) as you'd like.
You use a tool like Eclipse or the class "org.junit.runner.JUnitCore" to run the test.
Download junit-dep-4.10 from https://github.com/KentBeck/junit/downloads
3) Créer un projet Java
Create a new project "de.vogella.junit.first".
We want to create the unit tests in a separate folder. Create therefore a new source folder "test" via right mouse click on your project, select properties and choose the "Java Build Path". Select the tab source code.
Press "Add folder" then then press "Create new folder". Create the folder "test".
The creation of an separate folder for the test is not mandatory. But it is good advice to keep the test coding separate from the normal coding.
Create a Java class
Create a package "de.vogella.junit.first" and the following class.
package de.vogella.junit.first;
public class MyClass {
public int multiply(int x, int y) { return x / y; }
}
4) Create a JUnit test
Select your new class, right mouse click and select New ->JUnit Test case, change the source folder to JUnit. Select "New JUnit 4 test". Make sure you change the source folder to test.
Press next and select the methods which you want to test.
If you have not yet JUnit in your classpath, Eclipse will asked you if it should be added to the classpath.
Create a test with the following code.
package de.vogella.junit.first;
import org.junit.Test;
import static org.junit.Assert.assertEquals;
public class MyClassTest {
@Test public void testMultiply() {
MyClass tester = new MyClass();
assertEquals("Result", 50, tester.multiply(10, 5));
}
}
5) Run your test via Eclipse
Right click on your new test class and select Run-As-> Junit Test.
The test should be failing (indicated via a red bar). This is due to the fact that our multiplier class is currently not working correctly (it does a division instead of multiplication). Fix the bug and re-run test to get a green light.
If you have several tests you can combine them into a test suite. All test in this test suite will then be executed if you run the test suite. To create a new test suite, select your test classes, right mouse click-> New-> Other -> JUnit -Test Suite
Select next and select the methods you would like to have test created for.
cela crée une classe AllTests.java :
package de.vogella.junit.first;
import org.junit.runner.RunWith;
import org.junit.runners.Suite;
import org.junit.runners.Suite.SuiteClasses;
@RunWith(Suite.class)
@SuiteClasses({ MyClassTest.class, OtherClassTest.class })
public class AllTests {
}
If you later develop another test you can add it to @Suite.SuiteClasses
6) Run your test via code
You can also run your test via your own coding. The class "org.junit.runner.JUnitCore" provides the method runClasses() which allows you to run one or several tests classes. As a return parameter you receive an object of type "org.junit.runner.Result". This object can be used to retrieve information about the tests and provides information about the failed tests.
Create in your "test" folder a new class "MyTestRunner" with the following coding. This class will execute your test class and write potential failures to the console.
package de.vogella.junit.first;
import org.junit.runner.JUnitCore;
import org.junit.runner.Result;
import org.junit.runner.notification.Failure;
public class MyTestRunner {
public static void main(String[] args) {
Result result = JUnitCore.runClasses(MyClassTest.class);
for (Failure failure : result.getFailures()) {
System.out.println(failure.toString());
}
}
}
7) Annotations and Assert statements
a) Annotations
The following give an overview of the available annotations in JUnit 4.x
Annotation Description
@Test public void method() Annotation @Test identifies that this method is a test method.
@Before public void method() Will perform the method() before each test. This method can prepare the test environment (called a "fixture"), e.g. read input data, initialize the class)
@After public void method() Test method must start with test
@BeforeClass public void method() Will perform the method before the start of all tests. This can be used to perform time intensive activities for example be used to connect to a database
@AfterClass public void method() Will perform the method after all tests have finished. This can be used to perform clean-up activities for example be used to disconnect to a database
@Ignore Will ignore the test method, e.g. useful if the underlying code has been changed and the test has not yet been adapted or if the runtime of this test is just to long to be included.
@Test(expected=IllegalArgumentException.class) Tests if the method throws the named exception
@Test(timeout=100) Fails if the method takes longer then 100 milliseconds
b) Assert statements
The following gives an overview of the available test methods:
Statement Description
fail(String) Let the method fail, might be usable to check that a certain part of the code is not reached.
assertTrue(true); True
assertsEquals([String message], expected, actual) Test if the values are the same. Note: for arrays the reference is checked not the content of the arrays
assertsEquals([String message], expected, actual, tolerance) Usage for float and double; the tolerance are the number of decimals which must be the same
assertNull([message], object) Checks if the object is null
assertNotNull([message], object) Check if the object is not null
assertSame([String], expected, actual) Check if both variables refer to the same object
assertNotSame([String], expected, actual) Check that both variables refer not to the same object
assertTrue([message], boolean condition) Check if the boolean condition is true.
Pour savoir ce qui a changé (en ordre chronologique) sur le web Team, consulter cette page : WebChanges
Changements survenus sur le web "twiki" : WebChanges
on peut aussi s'inscrire sur cette page pour recevoir les changements du web Team par email : WebNotify
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Faire une copie (de sauvegarde) d'un Web (pour consultation offline) :
Grace au plugin PublishContrib, on peut obtenir une copie du Web à tout instant (attention, cette copie est READ ONLY, ce n'est plus un wiki, mais juste des pages web).
Pour publier la version courante du Web, aller sur le topic PublishWeb, et cliquer sur le bouton "Publish" (en milieu de page). Par défaut, c'est l'option "zip" qui est sélectionnée, ce qui crée un zip du Web.
Il suffit maintenant de cliquer en bas de la page générée par la requete, sur le lien "Published To: NomduWeb.zip", pour télécharger ce zip (L'accès à cette adresse est protégé pour que seuls les personnes enregistrées puissent y acceder)
Dézipper et cliquer sur la page WebHome.html. Le résultat n'est pas très joli, mais le contenu y est...
Un historique de la dernière publication se trouve dans le topic PublishContribHistory (utile pour voir si tout s'est bien passé)
Mise à jour d'une pièce attachée (remarque) :
Il vaut mieux utiliser des noms de fichier assez génériques (par exemple FDD.pdf au lieu de FF_v1.4.pdf) ainsi on peut mettre à jour un document sans changer son nom et les liens vers ce fichier
Selectionner Window/Source Control Tools/Subversion
Selectionner le connecteur SVN nommé SVNKit 1.3.0 (for svn 1.6.2) (ou un plus ancien car le serveur svn qui est sur planetoweb est une ancienne version 1.4.4)
Terminer l'installation, redémarrer IDL, c'est fait
Le depot (repository) svn de chemcam est http://planetoweb.cesr.fr/chemcam_svn et accepte les comptes créés sur ce wiki
The "Direct Rendering Infrastructure" (DRI) or "Direct hardware rendering" is described here :
http://www.ittvis.com/services/techtip.asp?ttid=3524
As it currently does not work on TEAM_SERVER, we have to deactivate it and activate "software rendering" instead (slower).
How to set IDL to use "software rendering" (IDL 8 issue) ?
From IDLDE
Fenêtre/Préférences/IDL/Graphiques :
Méthode de rendu pour les objets graphiques : sélectionner "Logiciel" au lieu de "Matériel"
From the idl console
There are a couple of ways to set IDL to use software rendering, besides from the IDLDE.
If you want to set the entire IDL session to use software rendering, then when you start up IDL, you could use this command:
idl -IDL_GR_WIN_RENDERER 1 (for Windows)
or
idl -IDL_GR_X_RENDERER 1 (for X Windows)
If you want to switch from the default hardware rendering to software rendering in the middle of an IDL session, you could use this command:
PREF_SET, 'IDL_GR_WIN_RENDERER', '1', /COMMIT (for Windows)
or
PREF_SET, 'IDL_GR_X_RENDERER', '1', /COMMIT (for X Windows)
Conseils pour bien documenter son code
Voir conseils généraux (Michael Galloy) "A style guide" : styleguide.pdf
Je livre ici une synthèse des conseils de Michael Galloy pour bien documenter un code IDL (Lire "A style guide" pour la version complète avec justifications) :
1. General principles
1. Code is for humans.
2. Do not mix styles.
3. Avoid redundancy.
4. Use an easy to maintain style.
2. Layout
1. Layout should enhance the logical structure of the code.
2. Use two spaces (not tabs) per indentation level.
3. Use a maximum line length of 79 characters.
4. Write code in paragraphs.
Example:
function mg_sample, nValues, nIndices, seed=seed
compile_opt strictarr
; get random nIndices by finding the indices of the smallest
; nIndices in an array of random values
values = randomu(seed, nValues)
; our random values are uniformly distributed, so ideally
; the nIndices smallest values are in the first bin of the
; below histogram
nBins = nValues / nIndices
h = histogram(values, nbins=nBins, reverse_indices=ri)
; the candidates for being in the first nIndices will live in
; bins 0..bin
nCandidates = 0L
for bin = 0L, nBins - 1L do begin
nCandidates += h[bin]
if (nCandidates ge nIndices) then break
endfor
; get the candidates and sort them
candidates = ri[ri[0] : ri[bin + 1L] - 1L]
sortedCandidates = sort(values[candidates])
; return the first nIndices of them
return, (candidates[sortedCandidates])[0:nIndices-1L]
end
5. Insert two blank lines between routines.
One blank line separates "paragraphs"; two blank lines separate "sections."
3. Comments
1. Document intent.
2. Keep comments up to date with the code.
3. For a short comment, use a phrase with lowercase first letter and no period. For longer comments, use all
normal grammar rules.
5. Write a complete header for each routine.
Use comments between ;+ and ;- before the routine. Document the purpose of the routine, the return value (if
a function), and side effects of the routine (which you should strive to eliminate). Each parameter should be
documented with whether it is an input and/or output, optional or required, data type expected, default value (if
any) and a description of its purpose.
For example, the below is an IDLdoc formatted header for the routine listed above:
;+
; Get nIndices random indices for an array of size nValues (do
; not repeat an index).
;
; :Returns: lonarr(nIndices)
;
; :Params:
; nValues : in, required, type=long
; size of array to choose indices from
; nIndices : in, required, type=long
; number of indices needed
;
; :Keywords:
; seed : in, out, optional, type=long or lonarr(36)
; seed to use for random number generation, a new seed
; will be output
;-
function mg_sample, nValues, nIndices, seed=seed
6. Indent a comment along with the code it's documenting.
7. Document paragraph by paragraph.
Each paragraph of code may need a comment to document its purpose, but inside a paragraph use only end-of-line
comments to comment particular lines.
It can be helpful to write the comments first, providing an outline of the code to write.
ex of end-of-line comment :
if (event.type eq 2) then begin ; type 2 = motion events
9. Don't repeat the code in the comments.
Don't document the obvious.
10. Don't add extra comments for convoluted code; improve the code.
Don't document bad code—rewrite it. (Kernighan and Plauger, The Elements of Programming Style)
4. Statement formatting
4.1. Use lowercase for reserved words, operators, and compile_opt option names.
For example, use:
compile_opt strictarr
if (not done) then readf, lun, line
4.2. Use only one statement per line.
For example, don't write:
a = 1 & b = 2
4.3. Prefer begin/end blocks unless the entire statements fits on one line.
For a single, long statement, use:
for i = 0, 10 do begin
print, i, format='("The index is ", I0, ".")'
end
But never write:
for i = 0, 10 do $
print, i, format='("The index is ", I0, ".")'
4.5. Define structures one field per line unless the entire definition can fit on one line.
For example, use:
point = { x: 0.0, y:0.0 }
state = { x: 0.0, $
y: 0.0, $
pdata: ptr_new(), $ ; image data
drawId: 0L $ ; window identifier
}
4.6. Add one space around most operators.
ex:
slope = (y0 - y1) / (x0 - x1)
tvscl, im, true=1
bin = arr[r[r[i]:r[i + 1] - 1]]
point = { x: 0.0, y: 0.0 }
Also, don't add extra spaces in order to align values.
4.7. Use single quotes for strings.
Use double single quotes if you need a single quote. For example,
sign = 'Eat at Joe''s'
4.9. Use capital letters to indicate the type of constant, use lowercase to indicate base of integers.
Use 0L not 0l because "l" (lowercase letter el) looks like "1" (integer one). Use '5'o and '5'x, not '5'O and
'5'X.
4.10. Use square brackets for array indices.
Use
compile_opt strictarr
in each routine to prevent issues with IDL confusing arrays and functions calls.
5. Variables
1. Use good variable names.
2. Variable names should be in camel case.
Camel case uppercases the first letter of each word in the name except for the first letter.
Uppercase each letter in an abbreviation that appears in a variable name unless it starts the name:
noaaWeatherURL.
Prefix the name with "n" for variables that hold counts, "o" for object references, "p" for pointers, "id" for
iTools identifiers.
Examples that follow this convention,
nFiles
oModel
pState
idPlot
3. Prefer pointers, objects, and passing local variables over common blocks or system variables.
Occasionally there is a reason to use common blocks or system variables, but you should have a good argument
for it.
When using direct graphics, prefer using graphics keywords of the plotting routines over setting system
variables directly.
4. Define common blocks and named structures in only one location.
Define the variables in a common block only once in a batch file. Include that file where needed.
map_proj_init_commonblock.pro is an example of this.
Define a named structure using automatic structure definition. For example, define MG_Point in a routine
named MG_POINT__DEFINE in a file named mg_point__define.pro.
6. Routines
1. For any file containing IDL code, filenames should always be in lower case and use the ".pro" extension.
2. Each file should include only one routine called from outside the file.
Each file should contain only one routine called from outside that file. Add the ".pro" extension to the routine
name of the externally called routine to get the filename. For example, the routine MG_LINEAR_FUNCTION
should be in a file named mg_linear_function.pro. If there are multiple routines in the file, make sure the
externally called routine is last in the file.
3. Routine names should be lower case, begin with a short organization prefix, and separate words with
underscores.
The prefix indicates the individual or group responsible for the code. It is usually the initials of the individual or
orgranization. Limit to two or three letters. Don't use the "IDL", "RSI", "ITT", "cw", "it", or empty prefixes.
4. Routines should fit on one screen.
5. Keywords should always be optional for the caller; positional parameters should generally be required.
Keywords should either be an optional input with a reasonable default value or an extra output (i.e. not the
main purpose of the routine).
6. Keyword names should be lowercase and separate words with underscores.
For example,
filename
ntests
eye_separation
left_image
7. Always use the full keyword name when calling the routine.
8. If the purpose of a routine is to return a value, use a function, otherwise use a procedure.
9. Status and error codes should be returned via keyword.
7. Object-oriented programming
1. Class names should begin with a prefix indicating organization and a code indicating the class' area of use.
Each word should be capitalized
Use the same prefix as given to normal routine names; avoid "IDL", "ITT", "RSI", and the empty prefix.
Codes already in use by IDL: an (analysis), com (COM), db (database), ex (example), ff (file format), gr
(graphics), it (iTools), sys (system), net (network), and _ (general use). Make use of the existing codes and
make up new ones as necessary.
Use all caps for abbreviations in class names, as in IDLnetURL.
2. Put all the methods and the routine defining the instance variables for a class into a single file.
For the definition of MGexClass, the file should be named mgexclass__define.pro. The last routine in this file
should be MGEXCLASS__DEFINE and should define the instance variables for the class (i.e. create a named
structure with name MGexClass).
Define only one structure/class name in the __DEFINE routine.
3. Method names should be a verb phrase in camel case.
For example, here are some method names following these conventions:
Use the conventions that are used by the IDL library classes. For example, use the GETPROPERTY and
SETPROPERTY scheme of procedures to handle getting and setting properties of a class.
4. Begin "protected" methods' names with a underscore.
For example,
MGexSomeClass::_helperMethod
is a helper method called by other methods in MGexSomeClass, but should not be called from outside of
MGexSomeClass.
5. Beware of multiple inheritance.
Use multiple inheritance as a last resort. Prefer delegation for one of the parent classes i.e. make the new class
contain the secondary parent class as an instance variable.
8. Exemple de commentaires proposé par ITT dans examples/template.pro
;+
; NAME:
; ROUTINE_NAME
;
; PURPOSE:
; Tell what your routine does here. I like to start with the words:
; "This function (or procedure) ..."
; Try to use the active, present tense.
;
; CATEGORY:
; Put a category (or categories) here. For example:
; Widgets.
;
; CALLING SEQUENCE:
; Write the calling sequence here. Include only positional parameters
; (i.e., NO KEYWORDS). For procedures, use the form:
;
; ROUTINE_NAME, Parameter1, Parameter2, Foobar
;
; Note that the routine name is ALL CAPS and arguments have Initial
; Caps. For functions, use the form:
;
; Result = FUNCTION_NAME(Parameter1, Parameter2, Foobar)
;
; Always use the "Result = " part to begin. This makes it super-obvious
; to the user that this routine is a function!
;
; INPUTS:
; Parm1: Describe the positional input parameters here. Note again
; that positional parameters are shown with Initial Caps.
;
; OPTIONAL INPUTS:
; Parm2: Describe optional inputs here. If you don't have any, just
; delete this section.
;
; KEYWORD PARAMETERS:
; KEY1: Document keyword parameters like this. Note that the keyword
; is shown in ALL CAPS!
;
; KEY2: Yet another keyword. Try to use the active, present tense
; when describing your keywords. For example, if this keyword
; is just a set or unset flag, say something like:
; "Set this keyword to use foobar subfloatation. The default
; is foobar superfloatation."
;
; OUTPUTS:
; Describe any outputs here. For example, "This function returns the
; foobar superflimpt version of the input array." This is where you
; should also document the return value for functions.
;
; OPTIONAL OUTPUTS:
; Describe optional outputs here. If the routine doesn't have any,
; just delete this section.
;
; COMMON BLOCKS:
; BLOCK1: Describe any common blocks here. If there are no COMMON
; blocks, just delete this entry.
;
; SIDE EFFECTS:
; Describe "side effects" here. There aren't any? Well, just delete
; this entry.
;
; RESTRICTIONS:
; Describe any "restrictions" here. Delete this section if there are
; no important restrictions.
;
; PROCEDURE:
; You can describe the foobar superfloatation method being used here.
; You might not need this section for your routine.
;
; EXAMPLE:
; Please provide a simple example here. An example from the
; DIALOG_PICKFILE documentation is shown below. Please try to
; include examples that do not rely on variables or data files
; that are not defined in the example code. Your example should
; execute properly if typed in at the IDL command line with no
; other preparation.
;
; Create a DIALOG_PICKFILE dialog that lets users select only
; files with the extension `pro'. Use the `Select File to Read'
; title and store the name of the selected file in the variable
; file. Enter:
;
; file = DIALOG_PICKFILE(/READ, FILTER = '*.pro')
;
; MODIFICATION HISTORY:
; Written by: Your name here, Date.
; July, 1994 Any additional mods get described here. Remember to
; change the stuff above if you add a new keyword or
; something!
;-
PRO TEMPLATE
PRINT, "This is an example header file for documenting IDL routines"
END
doc_library affiche seulement "tel quel" le bloc de commentaires complet compris entre ";+" et ";-", et affiche le chemin du fichier.
Pour documenter une fonction ou une procédure :
Fonction "dist":
IDL> doc_library, 'DIST'
----- Documentation for C:\Program Files\ITT\IDL\IDL80\lib\dist.pro
NAME:
DIST
PURPOSE:
Create a rectangular array in which each element is proportional
to its frequency. This array may be used for a variety
of purposes, including frequency-domain filtering and
making pretty pictures.
CATEGORY:
Signal Processing.
CALLING SEQUENCE:
Result = DIST(N [, M])
INPUTS:
N = number of columns in result.
M = number of rows in result. If omitted, N is used to return
a square array.
OUTPUTS:
Returns an (N,M) floating array in which:
R(i,j) = SQRT(F(i)^2 + G(j)^2) where:
F(i) = i IF 0 <= i <= n/2
= n-i IF i > n/2
G(i) = i IF 0 <= i <= m/2
= m-i IF i > m/2
SIDE EFFECTS:
None.
RESTRICTIONS:
None.
PROCEDURE:
Straightforward. The computation is done a row at a time.
MODIFICATION HISTORY:
Very Old.
SMR, March 27, 1991 - Added the NOZERO keyword to increase efficiency.
(Recomended by Wayne Landsman)
DMS, July, 1992. - Added M parameter to make non-square arrays.
CT, RSI, March 2000: Changed i^2 to i^2. to avoid overflow.
Dans ce dernier exemple (plot), on se rend compte que depuis idl 8, les nouvelles fonctions/procédures (telles que la fonction plot) ne sont plus commentées
au format "idl" mais "rst", qui semble donc être le nouveau format à utiliser pour commenter du code idl.
mk_html_help
Cet outil génère une doc html d'un fichier ou même d'un répertoire complet :
ex: documentation du fichier dist.pro:
MK_HTML_HELP, 'C:\Program Files\ITT\IDL\IDL80\lib\dist.pro', 'help_dist.html' ; La doc générée est help_dist.html
ex: documentation d'une arborescence complète:
MK_HTML_HELP, 'C:\Program Files\ITT\IDL\IDL80\lib', 'help.html' ; La doc générée est help.html
rst : le format le plus récent, qui tend à devenir le nouveau standard, il apporte beaucoup de possibilités
idldoc : le format historique de idldoc, qui ressemble à celui utilisé par des outils plus génériques, tels que Doxygen
idl : le format utilisé par ITT (et proposé dans examples/template.pro)
Ce dernier format ("idl") a juste le "mérite" d'être un standard pour les routines IDL, mais il est peu et mal exploité par IdlDoc qui ne reconnait que très peu de balises de commentaires (seulement 6) parmis celles proposées dans template.pro, et les met mal en valeur dans la doc générée.
Les 6 balises exploitées sont :
; PURPOSE:
; SIDE EFFECTS:
; RESTRICTIONS:
; PROCEDURE:
; EXAMPLE:
; MODIFICATION HISTORY:
Cette dernière balise est affichée en tant que "Author information" dans la doc générée
Quant à la balise suivante...
; CALLING SEQUENCE:
... elle n'est pas reconnue, mais elle semble inutile puisque cette information est automatiquement générée par idldoc.
Voir mes commentaires à l'auteur du logiciel et ses réponses:
http://michaelgalloy.com/2010/10/20/idldoc-3-3-released.html
Installation
(NB: sur TEAM_SERVER, c'est déjà installé sous /usr/local/itt/idldoc/idldoc)
1) Download
2) Copier et dézipper dans un dossier de mon choix (ex : D:/idldoc/idldoc-3.3)
3) Ajouter le chemin vers idldoc dans le IDL_PATH (Fenêtre/Preferences/IDL/Chemins/Insérer (puis Appliquer)
Utilisation
Pour générer la doc avec idldoc :
IDL> idldoc, root='path_vers_mon_repertoire_source', output='path_vers_mon_repertoire_doc'
Puis, 2clic sur index.html
Exemple plus complet:
IDL> idldoc, root='path_vers_mon_repertoire_source', output='path_vers_mon_repertoire_doc', title='DOC pour mon projet', subtitle='generated with idldoc 3.3', format_style='rst', overview='path_vers_mon_fichier_overview'
Remarque: format_style peut prendre les 3 valeurs "rst", "idl" ou "idldoc"
Enregistrer une image dans un fichier
; envoi vers fichier postscript
set_plot, 'ps'
; éventuellement donner un nom
device, filename='toto.ps'
plot, findgen(2)
; retour à l'affichage sur écran
device, /close
set_plot, 'x'
Utilisé pour les fonctions anonymes, le mot-clef "use" permet d’importer (en lecture seule) des variables externes, issues de l’espace de noms « global », au sein de la fonction lambda.
$var = 'World';
$f2 = function () use ($var) {
echo "<p>Hello, $var!</p>";
};
$f2(); // Hello, World!
En quelque sorte, "use" fait penser à l’instruction "global", que nous rencontrions parfois auparavant… Mais global ne répond pas aux besoins des closures
Import de variable par référence :
$var = 0;
$func2 = function () use (& $var) {
echo "<p>Début 2 : $var</p>";
$var = 2;
echo "<p>Fin 2 : $var</p>";
};
et le résultat :
echo "<p>Avant 2 : $var</p>"; // Avant 2 : 0
$func2(); // Début 2 : 0
// Fin 2 : 2
echo "<p>Après 2 : $var</p>"; // Après 2 : 2
Mais, qu'est-ce qu'une fonction anonyme pour php ?
$func = function ($param) {
echo "<p>Hello, $param!</p>";
};
var_dump($func);
Le résultat obtenu est le suivant :
object(Closure)[1]
Pour PHP, une fonction anonyme — une lambda — est un objet : une instance de classe Closure…
Closures
http://blog.pascal-martin.fr/post/php-5.3-2-closures-et-lambdas
Une closure est une fonction qui est évaluée dans un environnement contenant une ou plusieurs variables liées, auxquelles elle peut accéder au moment de son exécution.
Dans certains langages — dont Javascript, et PHP >= 5.3 — une closure peut exister lorsqu’une fonction est définie au sein d’une autre, et que la fonction interne fait référence à des variables de la fonction externe.
A l’exécution, une closure est formée : elle est constituée du code de la fonction interne et des références aux variables externes utilisées par celle-ci.
En PHP, une closure se construit de la manière suivante :
Une variable locale est créée dans une première fonction "externe",
Une seconde fonction "interne" est définie à l’intérieur de la première fonction, sous forme d’une fonction anonyme,
Et cette fonction "interne" importe la variable locale de la fonction "externe", à l’aide du mot-clef use.
Le mécanisme de closure permet donc de créer des variables au sein de la fonction "externe", qui conserveront leur valeur aussi longtemps que l’on aura conservé un pointeur sur la fonction "interne".
Ces variables seront accessibles par la fonction interne, éventuellement en écriture si nous avons utilisé & lors de leur import, tout en n’étant pas visibles du reste de notre script.
Appel de fonction sur un objet
PHP 5.3 ajoute la possibilité d’utiliser la syntaxe d’un appel de fonction sur un objet, en lui appliquant l’opérateur ().
Pour cela, une nouvelle méthode magique a été ajoutée : __invoke :
lors d’un appel de fonction sur une instance de classe comportant une méthode __invoke, c’est cette méthode qui sera appelée.
Voici une classe d’exemple :
class MyString {
public $str;
public function __construct($a) {
$this->str = $a;
}
// Appelée quand on appelle dynamiquement un
// objet instance de cette classe
public function __invoke($a) {
var_dump(__METHOD__);
$this->str = $a;
}
}
Session
Endroit où sont stockés les fichiers (temporaires) de session : session.save_path (php.ini)
Dans xampp : session.save_path = "D:\xampp\tmp"
Sur linux : session.save_path = "/var/lib/php/session" (/etc/php.ini)
La façon la plus sécurisée est d'utiliser les cookies
1) Le client (navigateur) demande un identifiant de session (jeton)
2) Le serveur crée l'identifiant et le retourne au client
3) Le client stocke sur son disque dur cet identifiant sous la forme d'un cookie qu'il enverra désormais à chaque requête
Nom du jeton par défaut = PHPSESSID (cf php.ini session.name et fonction session_name())
Sur le serveur, ce jeton aura le nom "sess_" suivi de sa valeur
Valeur du jeton = string générée aléatoirement par php (fonction session_id() retourne cette valeur et permet éventuellement de la fixer, mais déconseilllé)
Paramètres php.ini à positionner (on peut utiliser session_set_cookie_params() pour cela, il y a aussi ini_get() et ini_set()) :
session.use_cookies = 1
session.use_only_cookies = 1
session.use_trans_sid = 0 (si cookies pas acceptés, ne pas pour autant transmettre l'id de session dans l'url)
session.cookie_lifetime = 0 (jusqu'au moment de quitter le navigateur)
session.auto_start = 0
session.save_handler = files
session.save_path = ...
La fonction session_start() crée ou restaure une session (à mettre en première ligne du bootstrap)
session_regenerate_id() regénère l'id de session afin d'éviter une fixation de la session
appeler session_destroy() à la déconnexion du user
http://framework.zend.com/manual/en/learning.quickstart.create-project.html
Le contrôleur de Zend Framework réserve une action "index" comme action par défaut. C'est-à-dire que pour l'URI "http://localhost/tutoriel-zf/actualités/", l'action "index" est exécutée. Le framework réserve également un nom de contrôleur si aucun n'est fourni dans l'URI : aucune surprise qu'il soit également appelé "index". Ainsi, l'URI "http://localhost/tutoriel-zf/" appelle le contrôleur "index" avec l'action "index".
1) install
Download zf
Copier dans D:\ProgFilesNoInstall\zf
Ajouter D:\ProgFilesNoInstall\zf\bin dans PATH windows
2) Créer un projet
http://blog.aurevec.be/?p=71
Dans Eclipse, créer un projet PHP nommé "zfquickstart"
Ouvrir une console DOS
Aller dans xampp/htdocs
zf create project zfquickstart
crée 3 dossiers :
- application/ qui contient Bootstrap.php et configs/application.ini
- public/
- library/
public/ contient 2 fichiers importants :
.htaccess :
RewriteEngine On
RewriteCond %{REQUEST_FILENAME} -s [OR]
RewriteCond %{REQUEST_FILENAME} -l [OR]
RewriteCond %{REQUEST_FILENAME} -d
RewriteRule ^.*$ - [NC,L]
RewriteRule ^.*$ index.php [NC,L]
index.php : qui lance $application->bootstrap() et ->run()
3) The Bootstrap
Your Bootstrap class defines what resources and components to initialize. By default, Zend Framework's Front Controller is initialized, and it uses the application/controllers/ as the default directory in which to look for action controllers
// application/Bootstrap.php
class Bootstrap extends Zend_Application_Bootstrap_Bootstrap
{
}
4) Configuration
While Zend Framework is itself configurationless, you often need to configure your application. The default configuration is placed in application/configs/application.ini, and contains some basic directives for setting your PHP environment (for instance, turning error reporting on and off), indicating the path to your bootstrap class (as well as its class name), and the path to your action controllers.
First, when using INI-style configuration, you can reference constants directly and expand them; APPLICATION_PATH is actually a constant.
Additionally note that there are several sections defined: production, staging, testing, and development. The latter three inherit settings from the "production" environment. This is a useful way to organize configuration to ensure that appropriate settings are available in each stage of application development.
5) Action Controllers
Your application's action controllers contain your application workflow, and do the work of mapping your requests to the appropriate models and views.
An action controller should have one or more methods ending in "Action"; these methods may then be requested via the web. By default, Zend Framework URLs follow the schema /controller/action, where "controller" maps to the action controller name (minus the "Controller" suffix) and "action" maps to an action method (minus the "Action" suffix).
Typically, you always need an IndexController, which is a fallback controller and which also serves the home page of the site, and an ErrorController, which is used to indicate things such as HTTP 404 errors (controller or action not found) and HTTP 500 errors (application errors).
// application/controllers/IndexController.php
class IndexController extends Zend_Controller_Action
{
public function init()
{
/* Initialize action controller here */
}
public function indexAction()
{
// action body
}
}
And the default ErrorController is as follows:
// application/controllers/ErrorController.php
class ErrorController extends Zend_Controller_Action
{
public function errorAction()
{
$errors = $this->_getParam('error_handler');
switch ($errors->type) {
case Zend_Controller_Plugin_ErrorHandler::EXCEPTION_NO_ROUTE:
case Zend_Controller_Plugin_ErrorHandler::EXCEPTION_NO_CONTROLLER:
case Zend_Controller_Plugin_ErrorHandler::EXCEPTION_NO_ACTION:
// 404 error -- controller or action not found
$this->getResponse()->setHttpResponseCode(404);
$this->view->message = 'Page not found';
break;
default:
// application error
$this->getResponse()->setHttpResponseCode(500);
$this->view->message = 'Application error';
break;
}
$this->view->exception = $errors->exception;
$this->view->request = $errors->request;
}
}
You'll note that the IndexController contains no real code, and the ErrorController makes reference to a "view" property. That leads nicely into our next subject.
6) Views
Views in Zend Framework are written in plain old PHP. View scripts are placed in application/views/scripts/, where they are further categorized using the controller names. In our case, we have an IndexController and an ErrorController, and thus we have corresponding index/ and error/ subdirectories within our view scripts directory. Within these subdirectories, you will then find and create view scripts that correspond to each controller action exposed; in the default case, we thus have the view scripts index/index.phtml and error/error.phtml.
View scripts may contain any markup you want, and use the closing tag to insert PHP directives.
7) Create a virtual host
Dans "D:\xampp\apache\conf\extra\myvhosts", créer un fichier "zfquickstart.conf"
Listen 8087
<VirtualHost *:8087>
ServerName zfquickstart.local
ServerAlias zfquickstart.local zfquickstart
#ServerName .local
DocumentRoot "D:/xampp/htdocs/zfquickstart/public"
# This should be omitted in the production environment
SetEnv APPLICATION_ENV "development"
<Directory "D:/xampp/htdocs/zfquickstart/public">
DirectoryIndex index.php
#Options Indexes MultiViews FollowSymLinks
AllowOverride All
Order allow,deny
Allow from all
</Directory>
</VirtualHost>
There are several things to note. First, note that the DocumentRoot setting specifies the public subdirectory of our project; this means that only files under that directory can ever be served directly by the server. Second, note the AllowOverride, Order, and Allow directives; these are to allow us to use htacess files within our project. During development, this is a good practice, as it prevents the need to constantly restart the web server as you make changes to your site directives; however, in production, you should likely push the content of your htaccess file into your server configuration and disable this. Third, note the SetEnv directive. What we are doing here is setting an environment variable for your virtual host; this variable will be picked up in the index.php and used to set the APPLICATION_ENV constant for our Zend Framework application. In production, you can omit this directive (in which case it will default to the value "production") or set it explicitly to "production".
Avec un , il faudrait aussi faire ceci :
Finally, you will need to add an entry in your hosts file corresponding to the value you place in your ServerName directive. On *nix-like systems, this is usually /etc/hosts; on Windows, you'll typically find it in C:\WINDOWS\system32\drivers\etc. Regardless of the system, the entry will look like the following:
127.0.0.1 zfquickstart.local
Start your webserver (or restart it), and you should be ready to go.
http://localhost:8087
NB: il faut ajouter le chemin vers ZF ("D:\ProgFilesNoInstall\zf\library") :
soit dans php.ini,
soit, mieux, dans le fichier index.php du dossier "public/" du projet : chercher la ligne "set_include_path" et insérer en tête de liste, ce qui donne :
// Ensure library/ is on include_path
set_include_path(implode(PATH_SEPARATOR, array(
//EP added :
"D:\ProgFilesNoInstall\zf\library",
realpath(APPLICATION_PATH . '/../library'),
get_include_path(),
)));
% zf enable layout
Layouts have been enabled, and a default layout created at
application/layouts/scripts/layout.phtml
A layout entry has been added to the application config file.
As noted by the command, application/configs/application.ini is updated, and now contains the following within the production section:
We also want to ensure we have an XHTML DocType declaration for our application. To enable this, we need to add a resource to our bootstrap.
The simplest way to add a bootstrap resource is to simply create a protected method beginning with the phrase _init. In this case, we want to initialize the doctype, so we'll create an _initDoctype() method within our bootstrap class.
Within that method, we need to hint to the view to use the appropriate doctype. But where will the view object come from? The easy solution is to initialize the View resource; once we have, we can pull the view object from the bootstrap and use it.
To initialize the view resource, add the following line to your application/configs/application.ini file, in the section marked production:
resources.view[] =
This tells us to initialize the view with no options (the '[]' indicates that the "view" key is an array, and we pass nothing to it).
Now that we have a view, let's flesh out our _initDoctype() method. In it, we will first ensure the View resource has run, fetch the view object, and then configure it:
// application/Bootstrap.php
class Bootstrap extends Zend_Application_Bootstrap_Bootstrap
{
protected function _initDoctype()
{
$this->bootstrap('view');
$view = $this->getResource('view');
$view->doctype('XHTML1_STRICT');
}
}
Now that we've initialized Zend_Layout and set the Doctype, let's create our site-wide layout:
We grab our application content using the layout() view helper, and accessing the "content" key. You may render to other response segments if you wish to, but in most cases, this is all that's necessary.
Note also the use of the headLink() placeholder. This is an easy way to generate the HTML for elements, as well as to keep track of them throughout your application. If you need to add additional CSS sheets to support a single action, you can do so, and be assured it will be present in the final rendered page.
9) Create a Model and Database Table
http://framework.zend.com/manual/en/learning.quickstart.create-model.html
Your application bootstrap will by default use the module prefix "Application". As such, our models, forms, and table classes will all begin with the class prefix "Application_".
zf configure db-adapter 'adapter=PDO_SQLITE&dbname=APPLICATION_PATH "/../data/db/guestbook.db"' production
php scripts/load.sqlite.php --withdata
zf create db-table Guestbook guestbook
zf create model GuestbookMapper
zf create model Guestbook
zf create controller Guestbook
This will create a new controller, GuestbookController, in application/controllers/GuestbookController.php, with a single action method, indexAction(). It will also create a view script directory for the controller, application/views/scripts/guestbook/, with a view script for the index action.
We'll use the "index" action as a landing page to view all guestbook entries.
Now, let's flesh out the basic application logic. On a hit to indexAction(), we'll display all guestbook entries. This would look like the following:
// application/controllers/GuestbookController.php
class GuestbookController extends Zend_Controller_Action
{
public function indexAction()
{
$guestbook = new Application_Model_GuestbookMapper();
$this->view->entries = $guestbook->fetchAll();
}
}
And, of course, we need a view script to go along with that. Edit application/views/scripts/guestbook/index.phtml to read as follows:
<!-- application/views/scripts/guestbook/index.phtml -->
<p><a href="<?php echo $this->url(
array(
'controller' => 'guestbook',
'action' => 'sign'
),
'default',
true) ?>">Sign Our Guestbook</a></p>
Guestbook Entries: <br />
<dl>
<?php foreach ($this->entries as $entry): ?>
<dt><?php echo $this->escape($entry->email) ?></dt>
<dd><?php echo $this->escape($entry->comment) ?></dd>
<?php endforeach ?>
</dl>
Now browse to "http://localhost/guestbook"
10) Create A Form
http://framework.zend.com/manual/en/learning.quickstart.create-form.html
% zf create form Guestbook
Next, we will add a signAction() to our GuestbookController which will process the form upon submission. To create the action and related view script, execute the following:
% zf create action sign Guestbook
Now browse to "http://localhost/guestbook/sign".
php.ini-development contient les options qui sont recommandées pour un environnement de développement.
php.ini-production contient les configurations recommandées pour la production.
On les trouve dans /usr/share/doc/php-common-5.3.3
Voici la différence entre les 2 :
[root@planetoweb etc]# diff /usr/share/doc/php-common-5.3.3/php.ini-development /usr/share/doc/php-common-5.3.3/php.ini-production
514c514
< error_reporting = E_ALL | E_STRICT
---
> error_reporting = E_ALL & ~E_DEPRECATED
531c531
< display_errors = On
---
> display_errors = Off
542c542
< display_startup_errors = On
---
> display_startup_errors = Off
586c586
< track_errors = On
---
> track_errors = Off
604c604
< html_errors = On
---
> html_errors = Off
1248a1249,1256
> ; Allow accessing, from PHP's perspective, local files with LOAD DATA statements
> ; http://php.net/mysqli.allow_local_infile
> ;mysqli.allow_local_infile = On
>
> ; Allow or prevent persistent links.
> ; http://php.net/mysqli.allow-persistent
> mysqli.allow_persistent = On
>
1297c1305
< mysqlnd.collect_memory_statistics = On
---
> mysqlnd.collect_memory_statistics = Off
1566c1574
< session.bug_compat_42 = On
---
> session.bug_compat_42 = Off
1575c1583
< session.bug_compat_warn = On
---
> session.bug_compat_warn = Off
1593d1600
< session.entropy_file =
HereDoc
La syntaxe Heredoc se comporte exactement comme une chaîne à guillemets doubles, sans les guillemets doubles. Cela signifie que vous n'avez pas à échapper les guillemets (simples ou doubles) dans cette syntaxe. Les variables sont remplacées par leur valeur et le même soin doit leur être apporté que dans les chaînes à guillemets doubles.
Exemple de chaîne HereDoc
<?php
$str = <<<EOD
Exemple de chaîne
s'étalant sur
plusieurs lignes
avec la syntaxe heredoc
EOD;
/* Exemple plus complexe, avec des variables. */
class foo {
var $foo;
var $bar;
function foo() {
$this->foo = 'Foo';
$this->bar = array('Bar1', 'Bar2', 'Bar3');
}
}
$foo = new foo();
$name = 'MonNom';
echo <<<EOT
Mon nom est "$name". J'affiche des $foo->foo.
Maintenant, j'affiche un {$foo->bar[1]}.
Ceci se traduit par un 'A' majuscule : \x41
EOT;
?>
<?php
class foo {
public $bar = <<<EOT
bar
EOT;
}
?>
Fonctions anonymes (exemples d'algo de tri et de somme)
- Supprimer une partie de la chaîne : str_replace()
- sous-chaîne : substr()
- tester la présence d'une sous-chaine dans la chaine (et récupérer sa position) : strpos()
- parser une chaine de paramètres html, et les placer dans un tableau : parse_str($chaine, $args)
- remplacer une partie de la chaine : $bodytag = str_replace("%body%", "black", "");
print FUNCTION." in ".__FILE__." at ".__LINE__."\n";
Ou bien (php5) :
$modelReflector = new ReflectionClass (CLASS);
$method = $modelReflector->getMethod(METHOD);
ATTENTION
- echo "cette variable n'existe pas mais ca ne génère aucune erreur !!!!!!!" . $nimportekoi;
- echo "cette propriété (attribut, variable) n'existe pas mais ca ne génère aucune erreur !!!!!!!" . $this->nimportekoi;
Afficher un bloc de code html dans php (ou tout autre texte long) :
http://forum.webrankinfo.com/petite-astuce-pour-afficher-simplement-code-html-t32812.html
La commande top classe tous les processus par leur consommation de la CPU et de la mémoire
Elle affiche le "top 20" sous forme d'une table
top -n 1 -b > top.txt affiche tous les processus
top -n 1 -b -p affiche de l'information à propos d'un processus en désignant ce dernier par son PID.
$> netstat -ant|grep 8080
tcp4 0 0 195.83.102.52.54533 195.83.102.176.8080 ESTABLISHED
tcp6 0 0 ::1.8080 ::1.53481 ESTABLISHED
tcp6 0 0 ::1.53481 ::1.8080 ESTABLISHED
tcp6 0 0 ::1.8080 ::1.50287 ESTABLISHED
tcp6 0 0 ::1.50287 ::1.8080 ESTABLISHED
tcp46 0 0 *.8080 *.* LISTEN
Je vois ainsi que ma machine est connectée à 195.83.102.176 via le port 8080 en TCP
Pour savoir qui c'est, j'utilise la commande "host" ou "nslookup" :
$> host 195.83.102.176
Idem pour mysql :
$> netstat -ant | grep 3306
This tells me how many connections of different types of state I have on my machine.
I can run a similar command to see a complete picture of the state of all the connections made to my web server:
http://www.cyberciti.biz/faq/linux-display-cpu-information-number-of-cpus-and-their-speed/
cat /proc/cpuinfo
Plus précisément :
Exact number of available cores, virtual or not (8 pour TEAM_SERVER, soit 2 proc x 4 cores) : grep -c processor /proc/cpuinfo
Nb de processeurs "physiques" (2 pour TEAM_SERVER) : grep core\ id /proc/cpuinfo | grep -c \ 0$
The following (clumsy) group of commands will return the number of physical CPUs regardless of if there is only a single core per CPU (2 pour planetoweb et surfasafe) :
grep core\ id /proc/cpuinfo | grep -c \ 0$ | grep ^0$ >> /dev/null && grep -c processor /proc/cpuinfo || grep core\ id /proc/cpuinfo | grep -c \ 0$
Processeur(s) virtualisable(s) ? (cpuinfo doit contenir le flag vmx pour un processeur intel, et svm pour AMD) : egrep '(vmx|svm)' /proc/cpuinfo
Information détaillée : dmidecode
dmidecode --type 4 | grep -c Socket
CPU utilization
TOP : Informations sur la charge CPU et la consommation mémoire provoquée par les processus
http://www.loligrub.be/contrib/tlepoint/BASE/node104.htmlhttp://www.cyberciti.biz/tips/how-do-i-find-out-linux-cpu-utilization.html
La commande top classe tous les processus par leur consommation de la CPU et de la mémoire.
Elle affiche le "top 20" sous forme d'une table
top -n 1 -b > top.txt affiche tous les processus
top -n 1 -b -p affiche de l'information à propos d'un processus en désignant ce dernier par son PID.
O N pour trier par occupation mémoire
O K pour trier par charge CPU (par défaut)
1 pour montrer/cacher chaque processeur séparément
mpstat (fait partie du package sysstat)
mpstat -P ALL
You can display today’s CPU activity, with sar
sar
For example display comparison of CPU utilization; 2 seconds apart; 5 times, use:
# sar -u 2 5
(for each 2 seconds. 5 lines are displayed)
To get multiple samples and multiple reports, set an output file for the sar command. Run the sar command as a background process using.
# sar -o output.file 12 8 >/dev/null 2>&1 &
Better use nohup command so that you can logout and check back report later on:
# nohup sar -o output.file 12 8 >/dev/null 2>&1 &
puis pour lire : sar -f output.file
%user = % temps cpu utilisé par les applications
%system = % temps cpu utilisé par le kernel
%iowait = % temps cpu utilisé à attendre une requête I/O
displays the top 10 CPU users :
ps -eo pcpu,pid,user,args | sort -k 1 -r | head -10
ps command displays every process (-e) with a user-defined format (-o pcpu). First field is pcpu (cpu utilization). It is sorted in reverse order to display top 10 CPU eating process.
iostat :
It can be use to find out your system's average CPU utilization since the last reboot.
$ iostat
This gives you three outputs every 5 seconds (as previous command gives information since the last reboot):
$ iostat -xtc 5 3
gnome-system-monitor : allows you to view and control the processes
Voir aussi http://www.cyberciti.biz/tips/top-linux-monitoring-tools.html
# ssh pallier@sauvcesr2 bash -c "ls -l"
This account is restricted by rssh.
Allowed commands: scp sftp rsync
If you believe this is in error, please contact your system administrator.
Simplifier une connexion ssh avec rebond
Par exemple, depuis chez moi, je veux me connecter à TEAM_SERVER
Il me faut donc passer par GATEWAY (la passerelle du labo)
1) le plus simple, méthode manuelle (depuis mon pc)
ssh GATEWAY (entrer le mot de passe utilisé pour le mail)
puis
ssh TEAM_SERVER.LAB_DOMAIN (entrer votre mot de passe TEAM_SERVER)
(NB : "ssh -X GATEWAY", puis "ssh -X TEAM_SERVER" si on veut l'affichage graphique)
Il faut taper 2 fois "exit" pour revenir à mon pc.
2) Pour accélérer la connexion : ETAPE 1, générer des clés ssh
DEPUIS MON PC, je génère une paire de clés privée et publique :
ssh-keygen -t dsa
Puis, je distribue ensuite la clé publique à la fois sur GATEWAY ET sur TEAM_SERVER :
ssh-copy-id -i /home/USERNAME/.ssh/id_dsa.pub GATEWAY
ssh-copy-id -i /home/USERNAME/.ssh/id_dsa.pub TEAM_SERVER.LAB_DOMAIN
Tester maintenant à nouveau la double connexion (GATEWAY, puis TEAM_SERVER) :
ssh GATEWAY (sans mot de passe)
puis
ssh TEAM_SERVER.LAB_DOMAIN (avec mot de passe)
Malheureusement, il faut encore entrer un mot de passe pour se connecter à TEAM_SERVER, bouh...
(je tape 2 fois "exit" pour revenir à mon pc)
3) Pour accélérer la connexion : ETAPE 2, automatiser le "rebond" par GATEWAY
On va maintenant rendre transparent le passage via GATEWAY. Il suffit pour cela de créer un fichier de config :
DEPUIS MON PC, j'édite le fichier /home/USERNAME/.ssh/config, et j'y mets le contenu suivant :
(Pour plus de détails : http://franek.chicour.net/post/2009/10/16/SSH-%3A-simplifier-les-connexions-avec-rebond)
VOILA C FINI, OUF !
Désormais, depuis votre pc, il suffit de faire un bête ssh :
ssh hyp (avec l'option -X pour l'affichage graphique)
(ou "ssh TEAM_SERVER" ou "ssh TEAM_SERVER.LAB_DOMAIN")
On n'a plus besoin de rentrer aucun mot de passe (ni de GATEWAY, ni de TEAM_SERVER), c'est direct !
(il suffit de taper une seule fois "exit" pour revenir à mon pc)
remplacer tutu par toto, mais seulement des lignes 3 à 6 :
cat monfichier.txt | sed -e 3,6"s/tutu/toto/" >| monfichiertemp.txt
remplacer tutu par toto, mais seulement entre les lignes "titi" et "toto" :
/titi/,/toto/s/tutu/toto/
ou encore :
sed -e "/$debut/,/$fin/"'s#HostId="t3://.*\n#HostId="t3://'"$WLS_ADM_HOST:$PORT\"/" < "$file1" > "$file2"
GREP (recherche textuelle)
Afficher uniquement les lignes de commentaire:
egrep '^#' fichier
Ne pas afficher les lignes de commentaire:
egrep -v '^#' fichier
N'afficher que les lignes utiles (tout sauf commentaires et lignes vides) :
egrep -v '^(#|$)' fichier
RSYNC
Sauvegarder (de façon incrémentielle) des répertoires du poste A vers le poste B :
1) Depuis A...
A#> rsync -avz /rep/rep1 /rep/rep2 B:/rep/
option -v = verbose
attention aux slashes '/' :
/rep/rep1 écrit un répertoire rep1 sur B
/rep/rep1/ écrit directement le contenu du répertoire rep1 sur B
2) ... ou Depuis B
rsync -avz A:/rep/rep1 A:/rep/rep2 ./rep
FIND
Chercher le fichier "foo" sur tout le disque :
find / -name foo
(si on n'est pas root, on voit plein de messages d'erreur, donc pour éviter ça :
find / -name foo 2>/dev/null
Supprimer tous les répertoires CVS/ dans toute une arborescence (à partir du répertoire courant) :
find . -name "CVS" -exec \rm -r {} \; > /dev/null 2>&1
Combien de fichiers dans un répertoire (y-compris les sous-rep) :
find rep | wc -l
Affecter des droits spécifiques à certains éléments d'un répertoire (tout le contenu, y-compris sous-dossiers) :
dossiers:
find /home/jsmith/awstats/ -type d | xargs chmod 0755
fichiers:
find /home/jsmith/awstats/ -type f | xargs chmod 0644
fichiers perl:
find /home/jsmith/awstats/ -type f -name *.pl | xargs chmod 0755
Rechercher un fichier (dans une hiérarchie de répertoires)
find . -name filename_searched
Rechercher un mot dans un ou plusieurs fichiers
rechercher "mot" dans les fichiers idl du répertoire courant
grep "mot" *.pro
rechercher "mot" dans tous les fichiers du répertoire courant
grep -i "mot" .
L'option "-i" permet de ne pas tenir compte de la casse
rechercher "mot" dans tous les fichiers du répertoire courant ainsi que dans tous les sous-rep (récursif) :
grep -r -i "mot" .
Faire une action sur un ensemble de dossiers et fichiers
Depuis répertoire courant, supprimer tous les dossiers "CVS" (récursivement) :
find . -name CVS -exec rm -rf {} \;
Créer un alias
Exemple : quand on tape "l" ça fera "ls -l"
alias l="ls -l"
Cette ligne doit être placée dans votre ~/.bashrc
Configurer mon environnement
Pour les configurations perso, les placer dans son ~/.bash_profile (ce script appelle ~/.bashrc qui doit contenir les alias et fonctions)
Mettre les configurations générales dans /etc/profile.d/profile_etienne.sh (elles seront ainsi valables pour TOUS les users du serveur)
Ce fichier est automatiquement lu par /etc/profile au démarrage d'une session
Imprimer sur linux
Pour installer l'imprimante "sprinter", voir SprinterPrinter
Pour faire de cette imprimante l'imprimante par défaut, ajouter cette ligne dans votre ~/.bash_profile :
export PRINTER=sprinter (mettre le nom de votre imprimante à la place de "sprinter")
Pour imprimer du texte, on peut utiliser les utilitaires "a2ps" ou "enscript"
Visualiser des images (jpeg, ps, ...) en mode console
display
Note : display permet aussi de convertir une image d'un format vers un autre (enregistrer sous...)
Voir aussi "xv" et "gthumb"
Convertir une image d'un format vers un autre
PS to PDF : ps2pdf
Voir aussi l'utilitaire convert
En mode interactif, On peut aussi utiliser display (voir ci-dessus)
Réduire la taille d'un fichier PDF
Taper dans un terminal la commande suivante
gs -dBATCH -dNOPAUSE -q -sDEVICE=pdfwrite -sOutputFile=fichier_reduit.pdf fichier_a_reduire.pdf
La commande peut se faire avec l'option suivante (non obligatoire):
-dPDFSETTINGS=/screen (qualité faible - compression forte)
-dPDFSETTINGS=/ebook (qualité moyenne - compression moyenne)
-dPDFSETTINGS=/printer (qualité élevée - compression faible)
Administration
Nouvel arrivant - Ajouter un user
1) Créer le user
dans /home, avec tel group id (gid) :
useradd <username> -g 500
dans /home/STAGIAIRES :
useradd <username> -g 500 --base-dir /home/STAGIAIRES
avec tel user id (uid) :
-u 1000
2) Lui créer un password
passwd username
3) Créer éventuellement un lien dans son home vers les données de projet
sudo ln -s /projects/msl/data/mars/chemcam/ CHEMCAM_DATA
4) L'ajouter dans son ou ses groupes projets d'affectation
(pour avoir accès au sous répertoires correspondants dans "data", par exemple odyssey, msl, etc...)
vim /etc/group
(l'ajouter aussi dans son groupe privé)
Vérifier avec : id username
chgrp -R surfaces /home/username/
chmod -R 750 /home/username/
5) L'ajouter au service samba (si nécessaire)
pdbedit -a username
Vérifier qu'il est bien inscrit :
pdbedit -L
6) L'ajouter dans la liste des arrivantshttp://planetowiki.irap.omp.eu/do/view/Team/WebHome#Les_Nouveaux_Arrivants7) L'enregistrer sur le wiki (il ne peut pas le faire lui-meme)http://planetowiki.irap.omp.eu/do/view/TWiki/TWikiRegistration
IPTABLES (FIREWALL)
Quelles sont lès règles actuelles ?
/etc/init.d/iptables status
Fichiers :
ls /etc/sysconfig/iptables*
Modifs :
cd /etc/sysconfig/
1) modifs à faire sur iptables.clean
2) cp iptables.clean iptables
3) /etc/init.d/iptables restart
4) /etc/init.d/iptables save
5) /etc/init.d/iptables status (vérifier que les nouvelles règles apparaissent bien)
SVN (SUBVERSION)
Voir l'exemple du projet Europlanet : http://planetowiki.irap.omp.eu/do/view/Team/EuroplanetProject#Serveur_SVN
Voir l'exemple de la configuration pour chemcam : /etc/httpd/conf.d/vhosts/chemcam.conf (planetoweb)
Besoins à considérer avant de mettre en place une solution svn :
- accès via apache (et non pas seulement en svnserve) pour assurer un accès depuis l'extérieur et qui passe les firewall
- AUTH : accès authentifié (AuthType, AuthUserFile et Require valid-user)
Exceptionnellement, sur un projet avec différents groupes (mais uniquement si nécessaire car ralentit les accès svn et alourdit la gestion) :
- ACL : contrôle d'accès basé sur les chemins :
(grâce au module authz_svn_module et à la directive AuthzSVNAccessFile), pour pouvoir réserver certains répertoires à certains groupes...
Exemple de config (chemcam) authentifiée mais SANS ACL :
DAV svn
ErrorDocument 404 default
# Only 1 repository :
SVNPath /home/projects/chemcam/svn
# Many repositories :
# any "/svn/foo" URL will map to a repository /home/svn/foo
#SVNParentPath /home/svn
#SVNListParentPath on
# Desactiver completement les controles sur les chemins (par defaut = on)
SVNPathAuthz off
# For any operations other than these (GET, PROFIND...), require an authenticated user
#
Require valid-user
#
# AUTH
AuthType Basic
AuthName "CHEMCAM Subversion repository"
# password file :
AuthUserFile /chemin/vers/fichier/des/mots/de/passe
# For any operations other than these, require an authenticated user (this would allow anybody to READ without authentication)
# Custom log file and format :
LogFormat "%t %u %h %{SVN-ACTION}e" svn
CustomLog logs/journal-svn.log svn env=SVN-ACTION
Exemple de config (chemcam) authentifiée et AVEC ACL :
DAV svn
ErrorDocument 404 default
# Only 1 repository :
SVNPath /home/projects/chemcam/svn
# Many repositories :
# any "/svn/foo" URL will map to a repository /home/svn/foo
#SVNParentPath /home/svn
#SVNListParentPath on
# Desactiver completement les controles sur les chemins (par defaut = on)
SVNPathAuthz on
# ACL
# politique de controle d'acces (uses apache module mod_authz_svn)
AuthzSVNAccessFile /chemin/vers/fichier/police_acces_svn
# For any operations other than these (GET, PROFIND...), require an authenticated user
#
Require valid-user
#
# AUTH
AuthType Basic
AuthName "CHEMCAM Subversion repository"
# password file :
AuthUserFile /chemin/vers/fichier/des/mots/de/passe
# For any operations other than these, require an authenticated user (this would allow anybody to READ without authentication)
# Custom log file and format :
LogFormat "%t %u %h %{SVN-ACTION}e" svn
CustomLog logs/journal-svn.log svn env=SVN-ACTION
Format du fichier de police d'accès aux répertoires du projet svn (nommé police_acces_svn ci-dessus) :
[groups]
# Virtual Machine only group :
cc-vm = user1, user20, user7
# Privileged access group :
cc-privileged = user3, user2, user6, user8, user30
[/]
# cc-privileged group has total access to the project (and no one else)
@cc-privileged = rw
# access given to ALL users !!!
#* = rw
[/trunk/vm]
# cc-vm group has read only access to the /vm dir (and no other dir)
@cc-vm = r
# cc-vm group has no access at all to the /vm dir
#@cc-vm =
LVM (Logical Volume Management)
http://www.linux-mag.com/id/7454
LVM can be used to effectively manage storage to make expansion, snapshots, and other aspects of storage fairly easy.
LVM allows you to abstract various pieces of physical storage into groups that can be carved into chunks that form the basis of file systems (virtual partitions if you like). It also allows you to combine physical partitions into groups, resize these groups (grow or shrink), and effectively manage these groups.
1) h physical hd découpés chacun en p physical partitions (PP) (pas forcément le même nb de partitions pour chaque hd)
ex : sda découpé en /dev/sda1, /dev/sda2 et sdb découpé en /dev/sdb1, /dev/sdb2, /dev/sdb3
2) mapping identité entre les partitions physiques (PP) et virtuelles (PV) : 1 PV = 1 PP
Make sure the partition type for the physical volumes is correct. The partition type should be “8e”.
# fdisk -l /dev/sdb
Disk /dev/sdb: 500.1 GB, 500107862016 bytes
255 heads, 63 sectors/track, 60801 cylinders
Units = cylinders of 16065 * 512 = 8225280 bytes
Device Boot Start End Blocks Id System
/dev/sdb1 1 30400 244187968+ 8e Linux LVM
/dev/sdb2 30401 60801 244196032+ 8e Linux LVM
# pvcreate /dev/sdb1 /dev/sdb2 /dev/sdc1 /dev/sdc2
Physical volume "/dev/sdb1" successfully created
Physical volume "/dev/sdb2" successfully created
Physical volume "/dev/sdc1" successfully created
Physical volume "/dev/sdc2" successfully created
# pvdisplay
"/dev/sdb1" is a new physical volume of "232.88 GB"
--- NEW Physical volume ---
PV Name /dev/sdb1
VG Name
PV Size 232.88 GB
Allocatable NO
PE Size (KByte) 0
Total PE 0
Free PE 0
Allocated PE 0
PV UUID j4XKT6-OI2y-cPMK-YpNR-gmgc-es67-ey4CV2
"/dev/sdb2" is a new physical volume of "232.88 GB"
--- NEW Physical volume ---
...
Notice that each PV is given a PV UUID
3) Les PV sont regroupés en 1 à n volume group (VG) (a VG can be seen as a "virtual hd")
ex : le VG primary_vg regroupera /dev/sda1, /dev/sda2 , /dev/sdb1, et /dev/sdb3
# vgcreate primary_vg /dev/sdb1 /dev/sdb2 /dev/sdc1 /dev/sdc2
Volume group "primary_vg" successfully created
# vgdisplay
--- Volume group ---
VG Name primary_vg
System ID
Format lvm2
Metadata Areas 4
Metadata Sequence No 1
VG Access read/write
VG Status resizable
MAX LV 0
Cur LV 0
Open LV 0
Max PV 0
Cur PV 4
Act PV 4
VG Size 931.52 GB
PE Size 4.00 MB
Total PE 238468
Alloc PE / Size 0 / 0
Free PE / Size 238468 / 931.52 GB
VG UUID oNH6jk-PBE0-mR0c-aaDi-3Fys-y5SQ-0tVaxX
If you don't happen to remember the name of a VG or you happen upon a new system to administer, then you can use a command called "vgscan" that will tell what VG's are on the system.
# vgscan
Reading all physical volumes. This may take a while...
Found volume group "primary_vg" using metadata type lvm2
4) Chaque VG est redécoupé en m logical volume (LV) : 1 VG = m LV (a LV can be seen as a "virtual partition")
ex : le VG primary_vg est redécoupé en 2 LV : /dev/primary_vg/home_lv et /dev/primary_vg/data_lv
5) Sur chaque LG, on monte un système de fichier (FS) :
ex : /home monté en ext3 sur le LV home_lv et /data monté en xfs sur le LV data_lv
Comment
# mkfs.ext3 /dev/primary_vg/home_lv
...
Comment faire un snaphot ?http://www.linux-mag.com/id/7454/2/
For example, if the file system says it has 29G used (29 GB), then you should snapshot a little larger – perhaps 30-32 GB (always good to have a cushion). This cushion isn’t strictly necessary, but a little safety never hurts...
soft RAID (Redundant Array of Inexpensive Disks)
http://smpfr.mesdiscussions.net/smpfr/Software/soft-linux-nuls-sujet_338_1.htm
Vous pouvez faire vos tests sur des fichiers ou des clefs USB pour commencer...
Remplacez simplement le "device" par un fichier existant. Ex : /dev/sdX par /home/moi/raid-test/disque-1.img.
Pour créer un fichier quelque part avec la bonne taille : dd if=/dev/zero of=/home/moi/raid-test/disque-1.img count=10000 bs=65535.
Pour en savoir plus : man dd.
Apres on fait un : mdadm --create /dev/md0 --level=1 --raid-devices=/home/moi/raid-test/disque-1.img,/home/moi/raid-test/disque-2.img
Et voila un RAID 1 créé avec deux fichiers stockés sur le disque dur.
J'ai testé le Raid0 sur 2DD externes de 2,5" en USB, et j'arrive à 45Mo sec avec mon portable...
Avant de mettre un raid sur une machine en production VERIFIEZ les noms des disques et des partitions !!! Préférez les /dev/disk/by-id, vous ferez moins facilement des erreurs qu'en mettant seulement /dev/sde, surtout si vous ajoutez des disques par la suite...
L'outil magique de management du RAID sous Linux : mdadm
Quelques exemples : (vous noterez que l'on utilise la syntaxe /dev/sdX alors que c'est mal.. mais c'est plus lisible que /dev/disk/by-id/ata-ST3250310AS_6RY7R988-part1)
création d'une pile raid :
mdadm --create /dev/mdX --level=[01456] --raid-devices={/dev/sdYZ, missing, ...}
crée un device /dev/mdX (X étant un chiffre) de niveau (--level) 0 (stripping), 1 (mirroring), 4 (comme le 5 mais la parité est toujours sur le même disque), 5 ou 6 (2 disques de parité) à partir des devices /dev/sdYZ (Y est une lettre indiquant un disque physique , Z un chiffre indicant un numéro de partition).
On peut également mettre missing dans la liste des devices. C'est très utile lorsque l'on passe son système sur un raid 1
Mise en échec d'un disque (pour test par ex.) :
mdadm --manage /dev/mdX --failed /dev/sdYZ
"Ejection" d'un disque d'une pile :
mdadm --manage /dev/mdX --remove /dev/sdYZ
Ajout d'un disque à une pile :
mdadm --manage /dev/mdX --add /dev/sdYZ
Liste des périphériques d'une pile :
mdadm --misc --detail /dev/mdX
On peux aussi faire :
cat /proc/mdstat
Agrandir une partition
La première étape consiste à repérer quel device correspond aux partitions que tu veux redimensionner. Pour cela tu peux utiliser la commande :
sudo fdisk -l
# fdisk -l
Disque /dev/sda: 250.0 Go, 250059350016 octets
255 heads, 63 sectors/track, 30401 cylinders
Unités = cylindres de 16065 * 512 = 8225280 octets
Périphérique Amorce Début Fin Blocs Id Système
/dev/sda1 * 1 25 200781 83 Linux
/dev/sda2 26 535 4096575 82 Linux swap / Solaris
/dev/sda3 536 30401 239898645 83 Linux
Disque /dev/sdb: 250.0 Go, 250059350016 octets
255 heads, 63 sectors/track, 30401 cylinders
Unités = cylindres de 16065 * 512 = 8225280 octets
Périphérique Amorce Début Fin Blocs Id Système
/dev/sdb1 * 1 30401 244196001 fd Linux raid autodetect
Disque /dev/sdc: 250.0 Go, 250059350016 octets
255 heads, 63 sectors/track, 30401 cylinders
Unités = cylindres de 16065 * 512 = 8225280 octets
Périphérique Amorce Début Fin Blocs Id Système
/dev/sdc1 * 1 30401 244196001 fd Linux raid autodetect
Disque /dev/sdd: 250.0 Go, 250059350016 octets
255 heads, 63 sectors/track, 30401 cylinders
Unités = cylindres de 16065 * 512 = 8225280 octets
Périphérique Amorce Début Fin Blocs Id Système
/dev/sdd1 * 1 30401 244196001 fd Linux raid autodetect
Disque /dev/md0: 500.1 Go, 500113080320 octets
2 heads, 4 sectors/track, 122097920 cylinders
Unités = cylindres de 8 * 512 = 4096 octets
Disque /dev/md0 ne contient pas une table de partition valide
Pour avoir un résultat plus parlant (tailles en octets + système de fichiers) tu peux utiliser cfdisk : sudo cfdisk /dev/sda
L'ext3 c'est en fait de l'ext2 mais avec un "journal" et c'est pour ça qu'il est facile de passer d'ext2 à ext3 et réciproquement.
Les outils de redimensionnement s'appliquent à de l'ext2 ce qui nécessitera de passer d'ext3 à ext2, redimensionner, puis repasser en ext3
http://www.webactus.net/coin-du-geek/linux/2704-linux-augmenter-la-taille-dune-partition-ext3/